théorie du dédoublement - changez votre futur
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une connaissance universelle
changez votre futur
les ouvertures temporelles
théorie du dédoublement
theorie du dedoublement
la théorie du dédoublement
(the doubling theory)
de jean-pierre garnier malet a fait l'objet de quatre publications
scientifiques successives dans une revue internationale à
« referees » (arbitres scientifiques) :
1.
j.p. garnier-malet, 1998, modelling
and computing of anticipatory system: application to the solar system,
international journal of computing anticipatory systems. vol 2. 132-156, ed. by d.m. dubois, publ.
by chaos, liège belgium.
2.
j.p. garnier-malet, 1999, geometrical model of
anticipatory embedded systems, international journal of computing
anticipatory systems. vol 3. 143-159, ed. by d.m.
dubois, publ. by chaos, liège
belgium.
3.
j.p. garnier-malet, 2000, the doubling theory,
international journal of computing anticipatory systems vol
5. 39-62, ed. by d.m. dubois, publ. by chaos, liège belgium.
4.
j.p. garnier-malet, 2001, the three time flows of
any quantum or cosmic particle, international journal of computing
anticipatory systems vol 10. 311-321, ed. by d.m.
dubois, publ. by chaos, liège belgium
en
2006, jean-pierre garnier malet a reçu une récompense
pour la publication ci-dessous qui conduit à l’explication par sa
théorie du dédoublement (the doubling theory) des nouvelles planètes (ou
planétoïdes), découvertes récemment (2000-2007) dans le système solaire au
delà de pluton :
j.p.
garnier-malet, 2006, the doubling theory corrects the titius-bode law and
defines the fine structure constant in the solar system. computing
anticipatory systems, aip (american institute of physics) melville,
new-york, vol 839, pp. 236-249.
jean-pierre
garnier malet
une idée de
base en avant propos
une particule qui contourne ou traverse un
horizon de diamètre 2r en suivant les trajets circulaires ci-dessous fait
toujours le même trajet pr. le diamètre de l’horizon peut être considéré
comme une infinité de minuscules trajets circulaires que la particule
parcourt en faisant toujours le trajet pr. mais l’observateur qui ne voit
qu’une droite, en guise de diamètre, observe un trajet 2r. un changement
d’échelle de perception peut transformer pr en 2r. c’est l’idée de base du
mouvement de dédoublement de l’espace et du temps.
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
résumé
la théorie du dédoublement de
jean-pierre garnier malet
[1] élargit des principes de base admis par la physique moderne sans pour
autant remettre en question les lois existantes. elle permet de comprendre
l’origine et la nécessité d’un mouvement fondamental de dédoublement
périodique pour toute particule évoluant dans un horizon.
le dédoublement d’une
particule dans des espaces et des temps virtuels a pour but de permettre
l’accélération de l’anticipation des mouvements de la particule dans son
espace et son temps réels [2].
introduction
la théorie du dédoublement
de jpgm introduit
un écoulement de temps parfaitement continu mais dépendant de
l’observateur puisque cet écoulement est défini comme une succession
d’instants d’observation séparés par des instants de non-observation où le
temps s’écoule différemment.
ainsi notre éclairage
habituel nous donne l’apparence d’une lumière continue : s’éteignant et
s’allumant cinquante fois par seconde (fréquence 50 hz en france), il est en
réalité « stroboscopique ».
par analogie, jpgm a
défini un temps stroboscopique [1] dont la continuité n’est qu’une
apparence pour un observateur évoluant dans ce temps.
la fréquence de cette
stroboscopie temporelle sera donc une caractéristique essentielle du temps
d’un observateur dans l’horizon de son observation.
utilisée pour les particules
en mécanique quantique, cette notion d’horizon est une réalité physique dans
tout l’univers. un grain de poussière, un atome, une planète, une galaxie ou
un univers quelconque est à la fois horizon de particules en interaction et
particule interne dans son propre horizon.
dans la théorie du
dédoublement de jpgm, une particule dans un horizon est toujours considérée
comme un horizon de particules (figure
1.a).
figure 1.a : horizons et particules
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
un temps peut se définir par
un mouvement périodique d’un espace dans l’horizon de l’observateur.
limitant les observations et les interactions, différents horizons peuvent
donc définir différents écoulements du temps (figure 1.b).
figure 1.b : temps et mouvement périodique.
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
appelé par jpgm mouvement fondamental de dédoublement,
un mouvement périodique particulier permet de différencier des écoulements
de temps entre une particule interne, constituant d’un horizon
intermédiaire, et un horizon externe où cet horizon intermédiaire est
particule.
la transformation d’un horizon interne en particule d’un
horizon externe nécessite un nombre constant d’horizons intermédiaires
emboîtés par ce même mouvement qui peut ainsi s’accélérer. cette
accélération du mouvement est également celle de l’écoulement du temps
défini par ce mouvement dans chaque horizon.
défini par un ensemble de mouvements périodiques dans un
espace tridimensionnel, ce mouvement fondamental
est à la base de la théorie du dédoublement de jpgm.
utiliser deux horizons analogues pour envisager des
interactions analogues dans deux écoulements de temps différents permet
d’anticiper dans l’horizon où cet écoulement est lent le résultat observable
dans l’horizon où cet écoulement est rapide.
cette anticipation dont robert rosen a donné la première
définition rigoureuse [2] peut alors être envisagée comme le résultat d’un
dédoublement de l’espace et du temps.
ce mouvement de dédoublement permet à un horizon d’évoluer
dans un temps différent de celui de chacune de ses particules qui sont
également des horizons. cette relativité ou différenciation de
l’écoulement du temps dépend de l’emboîtement des horizons (ou
particules) dont le nombre est une constante dans chaque horizon (ou
particule).
cet emboîtement conduit alors à un temps dont l’écoulement
dépend de l’horizon de l’observateur. ainsi, pour un observateur, le temps
ne s’écoulerait que de temps en temps les instants perceptibles seraient
toujours séparés par des temps imperceptibles appelés « ouvertures
temporelles » par jpgm [1].
il est donc logique de constater, par l’observation et
uniquement à cause de l’observation, une discontinuité d’énergie et de masse
dans un univers d’apparence discontinu. certains peuvent à tort y voir une
discontinuité du temps qui s’écoulerait de temps en temps. il n’en est rien.
la terre tourne de façon continue définissant notre temps parfaitement
continu.
un fleuve s’écoule de façons continues dans la vallée même si
de l’eau s’écoule sous le lit du fleuve dans une rivière souterraine.
inobservable par les riverains du fleuve, cette dernière est parfaitement
observable par les spéléologues en exploration souterraine. l’espace des
spéléologues est virtuel pour les riverains et inversement. si le temps est
mesuré par la vitesse d’écoulement de l’eau, les riverains ne vivent pas à
la même allure que les spéléologues mais cependant, tout le monde vit en
même temps.
ainsi, du fait de ces écoulements de temps différents, les
relations d’heisenberg (dedt
³
h/4p)
et d’einstein (e=mc2) ne concerneraient donc que des grandeurs
quantifiables dans une succession d’instants perceptibles. einstein parlait
d’un temps [4] qui serait une succession de moments mais il n’a jamais
utilisé une variation rapide de la vitesse de l’écoulement temps (variation
plus ou moins rapide selon la perception de l’observateur). cette variation
peut paraître instantanée pour certains observateurs dont les temps
d’imperceptibilité sont très grands. elle est cependant la véritable cause
de la relativité.
c’est la succession d’instants mesurables qui permet
d’envisager un temps accéléré non perceptible entre ces instants mesurables.
ce temps accéléré est virtuel dans l’horizon du temps mesurable. la physique
des particules introduit des particules virtuelles : élargissant cette
notion, la théorie du dédoublement de jpgm introduit des temps virtuels.
dans cette logique, un temps réel observable dans un horizon peut être
un temps accéléré virtuel dans un horizon virtuel où le temps est ralenti
par la perception des observateurs.
les échanges d’interactions observables dans un horizon
quelconque utiliseraient donc la différenciation des temps liés aux
emboîtements systématiques et dynamiques de chaque horizon. ils subiraient
ainsi des accélérations ou des décélérations aux frontières de ces horizons.
la théorie du dédoublement de jpgm a permis de montrer [1]
que le système solaire était un système d’horizons emboîtés par le mouvement
fondamental de dédoublement.
retrouvant par une autre voie les lois de kepler, elle montre que ce
mouvement impose des niveaux de circulation elliptique que l’on pourrait
comparer aux niveaux d’énergie de la circulation électronique dans les
atomes. elle explique en plus les mouvements de libration des planètes (ou
de la lune) dans leur plan orbital que les lois de kepler ne permettent pas
d’expliquer.
l’emboîtement des horizons permet de faire correspondre à
chaque horizon (où un temps initial réel est observable) un horizon virtuel
interne (où le temps est accéléré) et un horizon virtuel externe (où le
temps est ralenti). or le mouvement de dédoublement entraîne une possibilité
d’échanges de trajectoires entre particules internes (temps accéléré) et
particules externes (temps ralenti), permettant ainsi une anticipation des
interactions dans le temps initial.
s’effectuant dans un temps accéléré virtuel, cet échange
n’apparaît pas dans l’horizon initial de la particule. l’échange inverse
donne à la particule initiale un potentiel virtuel instantané dans cet
horizon réel. ce potentiel virtuel est la conséquence d’une interaction
réelle dans le temps accéléré d’un horizon virtuel interne, non observable
par définition. des reconstitutions périodiques sur un axe radial
transforment un mouvement circulaire non observable en mouvement rectiligne
observable :
Échange du radial et du
tangentiel dans une galaxie
à la fin du cycle du
dédoublement des temps
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
le mouvement fondamental de
dédoublement utilise l’emboîtement d’horizons successifs qui produisent des
translations apparentes, résultat de différentes rotations simultanées.
l’intérêt de cet emboîtement
d’horizons est d’obtenir une accélération de l’écoulement du temps. cette
accélération permet d’expérimenter le mouvement d’une particule dans un
temps et un horizon imperceptibles dans le temps et l’horizon initial. un
changement d’échelle de temps correspond à un changement d’échelle
d’horizon. la dimension de cette particule imperceptible définit un temps
imperceptible dans cet horizon. cette ouverture imperceptible du temps
utilise un temps accéléré pour la particule qui est ainsi dédoublée dans le
temps et dans l’espace.
le mouvement de dédoublement
est donc bien fondamental puisqu’il positionne toujours un horizon
quelconque dans une ouverture temporelle d’un autre écoulement de temps où
cet horizon n’est qu’une particule interne d’un autre horizon.
il donne ainsi à n’importe
quelle particule (ou horizon) trois écoulements différents du temps
(interne, intermédiaire et externe). un temps accéléré permet une lente
expérimentation dont seule la synthèse rapide peut apparaître sous forme de
potentiel dans le temps ralenti de la particule. des échanges de particules
entre ces trois horizons (interne, intermédiaire et externe) emboîtés dans
des ouvertures temporelles successives et imperceptibles permettent à la
particule intermédiaire d’avoir en permanence son potentiel passé et futur
dans l’instant présent.
1- temps
d'observation et de non observation
l’idée fondamentale du modèle
de jpgm est de considérer qu’une particule dans un horizon ne se propage
qu’en roulant de façon tangentielle sur un autre horizon (ou particule).
cela remet en cause la
propagation en ligne droite d’une particule observable sans pour autant
remettre en cause l’observation physique d’une trajectoire rectiligne. en
effet, supposer que le temps de l’observateur s’écoule d’une façon
stroboscopique avec des instants de non observation dans des horizons
internes, appelés par jpgm « ouvertures temporelles », implique une nouvelle
notion d’observation des particules (ou des horizons). la propagation
rectiligne (ou curviligne) d’une particule (ou d’un horizon) devra toujours
être considérée comme une suite d’observations effectuées d’une façon
stroboscopique sur un axe (ou une courbe) privilégié(e).
par définition, un
observateur ne peut observer les temps de non observation. les états
d’observation semblent donc s’écouler sans interruption dans un temps
d’apparence continue. un observateur ne connaît donc pas l’espace réel mais
seulement l’espace observé dans une succession d’états d’observation et dans
la limite de son horizon. l’écoulement du temps peut alors être différencié
dans deux horizons différents par la rapidité du mouvement de leurs
particules observables. un temps stroboscopique contient des « ouvertures »
où la particule semble au repos sans interaction (figure 3) alors qu’elle
est simultanément dans un horizon inobservable où le temps s’accélère.
une ouverture temporelle
temps initial _
_ _ _ _ _ _ ↓ _ _ _
_ _ _ _ _ horizon
observable
stroboscopique
å æ
å
æ
å
æ
temps accéléré __| _ _
_ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _|_____ horizon inobservable
stroboscopique
dans le temps initial
figure 2
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
un système de mouvements
périodiques de particules et d’horizons permet d’obtenir un dédoublement par
l’utilisation de plusieurs d’un temps stroboscopiques emboîtés dans la même
transformation. appelé « mouvement fondamental de dédoublement », ce système
peut être utilisé aussi bien pour la particule (mécanique quantique) que
pour l’horizon (mécanique relativiste cosmologique).
lorsqu’une ouverture
temporelle imperceptible (dt)
d’un écoulement de temps initial permet un écoulement du temps accéléré (dt=
t), la particule peut expérimenter un futur de façon apparemment instantanée
et imperceptible dans l’écoulement du temps initial.
la particule observable
correspond à un temps de l’observateur mais aussi à une durée d’interaction
de son horizon dans celui de l’observateur. Évoluant dans l’ouverture
temporelle de l’horizon de l’observateur, une particule peut reprendre son
immobilité initiale dans cet horizon. dans ce cas, son évolution n’est pas
observable.
la propagation d’une
particule n’est donc qu’une apparence dans un horizon donné. sa trajectoire
pourrait être curviligne dans l’horizon d’un observateur et rectiligne dans
les ouvertures temporelles de cet horizon, et réciproquement. les durées des
ouvertures temporelles d’un horizon sont définies par le mouvement
périodique d’une particule dans son horizon, elle-même horizon de
particules. utilisé aussi bien pour un horizon que pour une particule, ce
mouvement périodique est donc fondamental.
2- le mouvement
fondamental de dédoublement
pour
en savoir plus, voir la première publication scientifique de jpgm [1] en
1998 qui donne tous les détails concernant les explications ci-dessous :
2.1- définition d'un spinback
le
mouvement fondamental (équation fig. 5) se compose de trois rotations
simultanées dans l’horizon défini par w0 = 2w1 (figure 3) :
1°)
une rotation j (centre o0) du rayon de w0
(diamètre de w1).
2°)
une rotation j de w1 dans l’espace autour de ce diamètre.
3°)
une rotation 2j de w1 sur lui-même.
figure 3
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
si
j=p, cette triple rotation est appelée "spinback" de la particule ou de l’horizon w0.
ce
mot vient de spin (tourner) et back (retour) :
deux
spinbacks (j=2p) de w0
redonnent les conditions initiales (j=0).
la
particule wn=w0/2n, avec n entier ³ 0, est aussi un horizon qui effectue le même mouvement dans
l’horizon 2wn
pendant le trajet tangentiel de 2wn sur w0 (effet d’échelle, de loupe ou de zoom). semblable
au spinback de w0, le spinback de 2wn sur w0
sera appelé « spinback tangentiel ».
le
spinback de w0 entraîne une dissociation de w0, w1, w2,…, wn en a
et une reconstitution en a’ (figure 4a). s’effectuant dans le plan de w0,
cette reconstitution dans le plan (xy) inverse le
mouvement de w1 et
conserve ceux de w2, w3, …,wn.
figure
4a
figure 4b figure 4c
figure
4d
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
pendant
le spinback de w0, s’effectuent 2 spinbacks
de w1 dans
w0, 4 spinbacks de w2 dans w1, … , et 2n spinbacks de wn dans wn-1.
ceux-ci
entraînent une reconstitution intermédiaire au centre de w0
dans le plan (yz) perpendiculaire au plan (xy) de w0 (figure 4b). passant par le centre de w0,
effectués à l’intérieur de w0 (donc inobservable dans l’horizon we où w0 est
une particule), ces spinbacks seront appelés
« spinbacks radiaux ».
dans
we
l’intérieur de la particule est inobservable (figure 4c).
les
trajets de w1, w2,...,
wn peuvent
donc être considérés comme des trajets radiaux virtuels dans w0
selon l’axe radial aa’ (figure 4d).
or, la trajectoire réelle
de la particule tangentielle interne wn sur l’horizon w1 correspond au trajet radial réel dans w0
(figure 5).
figure 5
figure 6
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
en
réalité, cette trajectoire entraîne dans son mouvement les horizons w2, w3, …, wn qui
effectue respectivement 22, 23, …, 2n spinbacks pendant le spinback
de w0
(figure 6).
par
définition, le spinback de wn
s’effectue dans l’horizon 2wn, "n.
il
peut être radial (figure 7a) ou tangentiel (figure 7b).
figure 7a
figure 7b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
lorsque
le spinback de 2wn est tangentiel sur w0, il correspond à deux spinbacks
radiaux de wn dans
2wn.
"n, les 2n
spinbacks de wn (rayon r/2n) forment dans w0
(rayon r) un trajet radial égal à pr (figure 8a).
dans
l’horizon externe we (où w0 est
une particule), le trajet radial de wn (pour n suffisamment grand) semble
rectiligne et égal à 2r.
le
changement d’échelle qui transforme un horizon de particules en particule
dans un horizon transforme donc pr en 2r (figure
8b).
figure 8a
figure 8b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
le
trajet radial de wn dans
l’horizon tangentiel (2wn)t est 2n plus lent que le trajet radial
de wn dans
l’horizon radial (2wn)r.
or,
w0 est une
particule qui effectue dans son horizon externe we un
mouvement radial 2n fois plus lent que wn. la
particule 2wn,
dissociée en (2wn)t et (2wn)r,
se retrouve donc reconstituée par superposition de (2wn)t
et de (2wn)r
à la fin du spinback de w0.
les
horloges dans l’horizon tangentiel (2wn)t et dans l’horizon radial (2wn)r
sont donc les mêmes mais elles ne tournent pas à la même vitesse.
2.2- anticipation de la particule radiale
par
définition, la rotation tangentielle p-p/2n
de l’horizon (2wn)t correspond à 2n-1 spinbacks
radiaux de wn
(figure 9a).
les
horizons (2wn)r et (2wn)t
englobent la même particule wn qui est dans deux "états différents :
tangentiel dans (2wn)t
où le spinback est en cours et radial dans (2wn)r
où le spinback est terminé.
ce
spinback radial peut être considéré comme une
« anticipation » du spinback
tangentiel. or, une rotation virtuelle initiale p/2n de w0 permet de considérer un spinback
tangentiel virtuel (ou anticipatif) de w0 avant son spinback réel
(figure 9a).
ce
spinback virtuel entraîne un trajet radial
virtuel 2r/2n de w0 correspondant à donc bien à une anticipation de
cet horizon initial.
figure
9a
figure 9b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
2.3- dilatation de la particule radiale (2n = 8)
supposons
qu’après la rotation p-p/2n, la particule radiale (wn)r soit dilatée en (2nwn)r=(w0)r semblable à w0. dans
ce cas, (2wn)t devient la particule initiale de l’horizon initial (w0)r
qui, terminant son spinback radial réel, apparaît
comme un horizon initial effectuant son spinback
2n fois plus rapidement (figure 9b).
or,
dans un espace à trois dimensions, cette dilatation (´ 2n) de la particule radiale peut se faire en n=3
dilatations (´ 2) successives. en effet, lorsque la particule
initiale o0 (figure 10a) se laisser entraîner par le mouvement
du premier spinback de w1,
elle entraîne avec elle son horizon w0 (figure 10b).
figure 10a
figure 10b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
après
la rotation p/2 de w0, elle possède, dans le plan yz
perpendiculaire au plan initial xy, une vitesse
double (celle de o1) au centre d’un espace double de celui de w1.
elle
devient donc 2o1 au centre de 2w1 (figure 10b).
le
plan yz devient le plan initial de l’horizon
dilaté 2w1 avec
un mouvement tangentiel deux fois plus rapide que celui de w0 dans
le plan initial xy. une rotation p/2 de 2w1 dans
ce deuxième plan initial yz correspond à la
rotation p/4 de w0 (figure 10a).
avec
la vitesse de o2 dans le plan xz
perpendiculaire au plan yz, la particule initiale
o0 devient 4o2 dans l’horizon dilaté 4w2. une
rotation p/2 de 4w2 dans ce troisième plan initial zx correspond à la rotation p/8 de w0 (figure 10a).
avec
une vitesse huit fois plus grande dans le plan initial xy
perpendiculaire au plan xz, la particule initiale
o0 devient 8o3 dans l’horizon dilaté 8w3,
juxtaposé à l’horizon initial w0 (figure 11a).
de
la même façon, la rotation p-p/8 de 8w3,
correspondant à la rotation (p-p/8)/8 de w0,
transforme la particule 8o3 en 64o6 dans l’horizon
dilaté 64w6 (figure
11b).
figure
11a
figure 11b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
la
position de 64w6
pourrait être considérée comme la position initiale de w0
avant ses deux spinbacks radiaux dans 2w0,
correspondant au spinback tangentiel de w6 sur w0
(figure 12a).
64
fois plus lent que le spinback de 64w6, le spinback de w0 correspond à la rotation p/2 de 2w0.
l’horizon dilaté 64w6
effectue donc son premier spinback avant celui de
w0 et
après la rotation p-p/128 de w0. (figure 12b).
figure 12a
figure 12b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
2.4- echange du radial et du tangentiel
après
la dilatation (´23) de w3, correspondant à la rotation p-p/8 de w0, l’horizon
dilaté (w0)r
est semblable à w0,
mais l’axe radial de (w0)r est incliné de p/8 sur l’axe radial de w0 (figure 14).
figure 14
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
cette
dilatation interne de la particule (w3)r dans son horizon reste inobservable dans
l’horizon externe we où w0 est
une particule.
initialement
(figure 15a), l’horizon 2w3 sur w0 est virtuel sur l’axe radial de (w0)r.
figure 15a
figure 15b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
la
dilatation de (w3)r en (w0)r
la rend réelle en la remplaçant par la particule (w6)r
dilatée elle aussi en (8w6)r=(w3)r (figure 15b).
l’anticipation
de (w0)r selon l’axe radial de (w0)r procure alors une rotation
supplémentaire réelle p/8 à la rotation
tangentielle p-p/8 de (2w3)t qui termine son spinback
avant le spinback de w0.
cette
fin du spinback de (w0)r entraîne un dédoublement de la particule initiale et une
possibilité d’échange du tangentiel et du radial avant la fin du spinback de w0 qui termine ce dédoublement (figure 16).
figure 16
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
avec
cet échange, la particule change d’écoulement du temps.
2.5- l'accélération de l'écoulement du temps
dans
l’horizon externe we de
la particule w0, les
dilatations internes de w3 et de w6 dans w0 sont imperceptibles. de plus, compte tenu du
mouvement radial de w0,
l’échange du radial et du tangentiel est imperceptible. il a lieu pendant
le neuvième spinback radial de w3
(figure 17a).
figure 17a
figure
17b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
cet
échange est englobé dans un horizon de w0 comprenant 9 spinback
radiaux de w3. cet
horizon correspond à un seuil de perception dans we
(figure 17b).
l’échange,
imperceptible hors de w0, correspond à un temps accéléré dans w3 où
(du fait de la dilatation de w3 en 8w3) s’effectue le même mouvement que dans w0 mais
dans un temps 8 fois plus rapide. (figure 18a).
figure
18a
figure 18b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
de
même, dans 8w3, un
échange imperceptible commence au neuvième spinback
de w6. il
correspond à un temps accéléré dans w6 où (du fait de la dilatation de w6 en
64w6)
s’effectue le même mouvement que dans w0 mais dans un temps 64 fois plus rapide.
le
dixième spinback radial est donc le premier
spinback tangentiel au moment de la dilatation de
w3 en 8w3 ou
de w6 en
64w6.
l’échange
du radial et du tangentiel ne pourra s’effectuer que si la perception du
temps s’accélère en passant de 1 à 10.
elle
s’accélérera donc de 1 à 103, au cours des deux échanges du
radial et du tangentiel dans 8w3 et 64w6. dans le même temps, elle s’accélérera de 1 à 10
dans w0. À
la fin du spinback de 8w3 ou
de 64w6, la
différence sera toujours de 102 (figure 18b).
À
la fin du spinback de w0,
le radial (=10) et le tangentiel (=1) dans w0 deviennent donc le radial (=102) et le
tangentiel (=10) dans w’0. l’échange
s’effectue donc avec une accélération de 1 à 10 de la perception du
mouvement aussi bien radial que tangentiel.
2.6- les sept temps stroboscopique nécessaires au dédoublement
ces
échanges de particules s’effectuent dans une ouverture temporelle commune.
ils nécessitent six temps intermédiaires stroboscopiques déterminés par
sept horizons emboîtés de w0 à w6.
la
particule externe w0 est
la première, l’intermédiaire w3 est la quatrième, et l’interne w6 la
septième.
l’anticipation et le
premier échange s’effectue dans le huitième.
le neuvième effectue
l’échange inverse.
nous retrouvons ainsi
les conditions initiales dans le dixième.
lorsque
la transformation de dédoublement se termine, les sept horizons sont
juxtaposés. les échange de particules ont lieu.
puis,
la transformation de dédoublement suivante commence :
le
septième et dernier horizon 2(64w6) du premier dédoublement devient le premier
horizon w-1=2w0 du deuxième
dédoublement.
3-
conditions et équation d'échange
les
variables sont écrites dans un nouveau formalisme :
r0
et w0 sont
respectivement le rayon r0 et l’horizon w0
"observable dans l’horizon w0". de même, (r0)1 ou (w0)1
signifient r0 ou w0 "observable dans l’horizon w1".
l’échange du radial et
du tangentiel impose une condition :
le trajet tangentiel (pr)0 observable dans w0
s’effectue dans le temps d’un spinback de w0
mesuré par l’angle de rotation (p)0
(figure 18a).
ce temps (p)0 est celui du dédoublement (radial et tangentiel) dans w0
entre deux reconstitutions.
autrement dit, (pr)0/(p)0=(r)0 est la vitesse tangentielle sur w0 dans
le temps du dédoublement (p)0.
figure 18a
figure 18b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
le
trajet radial (pr)3 observable
dans w3
(figure 18b) s’effectue dans le temps de la traversée de l’horizon w0
mesuré par la longueur (2r)3. compte tenu de la dilatation de w1 en 2w1,
après la rotation p/2 de w0, ce temps est celui de deux dédoublements (radial
et tangentiel) de w3
entre deux reconstitutions dans w0.
autrement
dit, (p)3=(pr)3/(r)3
est la vitesse tangentielle sur w0 dans le temps d’un dédoublement (r)3.
cela
implique que l’échange du trajet radial et
du trajet tangentiel ne pourra s’effectuer que si la vitesse radiale (r)0 et la vitesse tangentielle (p)0 peuvent s’échanger. de même, pour (r)3 ou (p)3.
or,
le trajet radial (pr)3 doit être
le diamètre de (2r)3 de w0 (condition du paragraphe 2.2.1, figure 8). le
trajet tangentiel (pr)0 doit donc
être égal à (p2r/2)3 (figure 19b).
figure 19a
figure 19b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
l’échange
de p et de r dans (pr)0 ne change rien.
l’échange
dans (p2r/2)3 donne (pr2/4)3.
la
condition d’échange (notée )
sera : (pr2)3
(4pr)0
(4)
cette
condition fondamentale fait correspondre une surface avec une
longueur : mais elle sous-entend que le dédoublement se termine avec
le spinback de w0 au moment où w0 se dilate en 2w0.
cette
dilatation nécessite une référence avec un rayon unitaire r commun au début et à la fin du dédoublement et tel que la
rotation p correspond au trajet pr. la condition (4) devient alors l’équation :
(pr2)3 = (4prr)0
(4’)
cette
équation sera possible grâce à un changement d’échelle d’espace et de temps
de spinback entre l’horizon intermédiaire w3 et
l’horizon externe w0.
cette
équation peut être obtenue par un calcul beaucoup plus long mais moins
élégant (publication, j.p. garnier malet, 1998) qui conduit à définir des
changements d’échelle d’espace (ed) et
de temps (et) tels que :
et
= 1/ed = 2p1/2
(5)
4r0
= edpr3 = p1/2r3/2
(5’)
q02 = etq3 = 2p1/2q3
(5")
où
q0 et q3 sont
respectivement les angles de rotation de w0 et w3.
en
effet, lors de la reconstitution finale (où q0=q3=p), les relations (5’) et (5")
entraînent bien :
p2r0 = p2r3
selon
(5’) et
(5"), ed transforme un trajet
radial r0 en un trajet tangentiel pr3,
et et transforme q3 en q02, ou (8p)3 en (64p2)0 pendant leurs spinbacks
communs.
cela
correspond bien aux emboîtements des sept horizons nécessaires au
dédoublement (w0, w3, w6) et
à leur dilatation respective (20= 1, 23= 8 et 26=
64).
4-
conditions de juxtaposition
trois
vitesses radiales c0, c1, and c2 sont
nécessaires entre deux reconstitutions des trois horizons emboîtés.
l’échange du tangentiel et du radial entre w0 et w3, dilaté en (w0)r nécessite (au cours du spinback
tangentiel de w0) une
vitesse radiale c0 correspondant à 7 spinbacks
radiaux de w3 de
vitesse radiale c1, tels que (figure 20a) :
c0= 7c1.
(6)
figure
20a
figure
20b
figure 20c
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
effectuant dans le même
temps un mouvement radial l’horizon w0 englobe 9 spinbacks
radiaux de la particule interne w3 (figure 20b).
le
premier spinback de w3
correspond au 10ème spinback radial de
w6 (figures 20c). de même pour w6 dans w3
(figure 21a).
au
4ème spinback de w3 dans
2w3 (correspondant
à une accélération des spinbacks de w3 de 1 à 105), w3 a
effectué 4+1/12=72/12 spinbacks
radiaux dans w0
(figure 21b).
si
la vitesse radiale de w6 est c2 ,
la vitesse radiale c1 est telle que :
c0
= 7c1 = (73/12)105c2.
(6’)
figure
21a
figure 21b
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
5- vitesse d’information
du temps présent c2
c2
est la vitesse radiale maximum de l’horizon interne w6
pendant le dédoublement.
pendant
le temps t des 4×54 = 216 spinbacks
(pr) de la particule w6, l’accélération du mouvement de cette particule
passe de 1 à 106 tandis que celle de l’horizon w0
passe de 1 à 102 (figure 22).
figure 22
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
il
est possible de calculer cette vitesse de dédoublement dans n’importe quel
espace en dédoublement. toutes les étoiles sont des systèmes doubles
possédant des systèmes planétaires en accord avec la théorie du
dédoublement.
l’observation
qui, dans les années 1960 ne révélait que 15 % d’étoiles doubles, en a
dévoilé maintenant 87 % dans notre galaxie. les planètes d’autres étoiles
ou « exoplanètes » commencent, grâce à
l’observation de plus en plus performante, à ne plus être des exceptions.
il
est donc possible de calculer la vitesse de dédoublement dans n’importe
quelle étoile et, en particulier, dans notre système solaire en prenant le
rayon solaire comme mesure des distances et le jour de la terre comme
mesure du temps.
ce
rayon est bien celui de la particule r dans son
horizon de dédoublement (nuage de oort et ceinture de kuiper)
l’observation
de ce diamètre n’étant pas très précise, il est possible d’obtenir une plus
grande précision en considérant le diamètre de la terre qui est lié à celui
du soleil par la relation théorique du dédoublement (j.p. garnier malet,
1997), à savoir :
2r = diamètre du soleil = (100/16)(p5/2)(2rt)
2rt = diamètre de la terre dans le plan de l’écliptique = 12751,55 km.
la
théorie du dédoublement impose de prendre comme diamètre de la terre le
diamètre du cercle situé dans le plan w0 de juxtaposition initial et final de la
transformation cyclique de dédoublement qui est le plan de l’écliptique
(fig. 23)
figure 23
(copyrignt
© jpgm 1997-2007)
c’est
ainsi que l’application dans le système solaire de la théorie du
dédoublement a pu « calculer » de façon théorique cette vitesse
en km./sec. :
c2
= (216pr/t)104 =54p5/2(prt/4t)106 = 299 792 km./sec.
(7)
avec :
2t = 365,25´24´3600 sec. = un an (2 spinbacks).
selon la théorie du
dédoublement, le plan de l’équateur écliptique (fig. 23) oscille au cours
d’un cycle de 25 920 ans (garnier malet, 1997).
la position en début de
cycle correspond à : p/8(1-2/100) = 22,05°.
il augmente
de :
p/8(1/10+1/100) = 2,475°.
en fin de cycle, il
doit correspond
à :
p/8(1+1/10-1/100) = 24,525°.
il est actuellement de
23,45°.
6- théorème
des trois horizons de dédoublement
6.1- enoncé du théorème
une
transformation de dédoublement nécessite trois particules (interne,
intermédiaire et externe), emboîtées dans sept temps stroboscopiques.
la
particule interne est dans le premier temps stroboscopique (le plus rapide
= futur), l’intermédiaire est dans le troisième (présent), et l’externe est
dans le septième (le plus lent = passé).
il
est possible de démontrer le théorème fondamental suivant :
- les conditions initiales et finales doivent
transformer le premier spinback tangentiel de la
particule interne w6 en
999 spinbacks radiaux de son horizon w3.
- l’horizon w3 est une particule effectuant 666 spinbacks dans l’horizon initial w0, lui-même
particule effectuant 333 spinbacks dans l’horizon
dilaté w-1 = 2w0.
6.2- hypothèses (rappel)
chaque horizon, w0 (externe), w3 (intermédiaire) et w6 (interne), emboîtés dans la
même transformation de dédoublement a une vitesse radiale respective, v0,
v3 et v6, et une vitesse tangentielle respective, u0,
u3 et u6 (figure 24).
figure
24
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
l’horizon intermédiaire w3 termine son spinback lorsque l’horizon interne w6 termine son trajet radial
dans w3.
avec les changements d’échelle
(5), (5’),
(5") du paragraphe 3, la relation (5") transforme q6 en q23, ou 8p en 64p2
pendant leurs spinbacks communs.
dans la particule w3 (horizon de w6), le trajet radial r6
effectué pendant le temps t6 d’un spinback
interne p de w6 (figure 24) doit être égal
au trajet radial (r62)3 observable dans w3 effectué pendant le temps
(t62)3 d’un spinback
intermédiaire (p2)3
de w6.
la vitesse tangentielle u6=(pr/t)6,
observable dans w6,
devient donc (u62)3, observable dans w3.
figure 25
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
dans
le même temps, le changement d’échelle (5’) transforme (pr)6 (trajet tangentiel) en r3
(trajet radial).
la
relation (5) permet de faire les changements d’échelle simultanés (et
et ed) sans
modifier les observations puisque (et ed=1).
la
vitesse tangentielle u6= (pr/t)6 devient donc la vitesse radiale (r3/t6)32.
6.3- relativité du temps dans la particule intermédiaire
le
temps t6 correspond au spinback de w6
pendant son trajet radial. selon les conditions précédentes, il sera le
temps t0 du spinback de w0
lorsque :
v0 = 8u0
= (v3)0 = (u32)0 =
(u3)3 = (1/8)(v3)3 = (1/8)(u62)3.
v0/8 = (1/82)(u62)3
= (u6/8)6
du
fait de la possibilité d’échange du radial et du tangentiel, dans w3, la
vitesse radiale v0 est égale à la vitesse tangentielle u6
qui devient (u62)3 dans w6.
mais
la vitesse radiale v0 est aussi (u32)0.
cela entraîne :
(t62)3(u62)3
= (t02)3[(u62)3
- (u32)3].
(8)
dans
la particule intermédiaire w3, cette équation donne la relativité du temps
entre la particule externe w0 et la particule interne w6.
comme :
v3
= 8u3 et v6 = 8u6,
l’équation
devient dans w3 :
t62u62
= t02(u62
- u32) = 64t62v62
= 64t02(v62 - v32)
ce
qui donne le changement de temps (relation de la relativité) :
(t6/t0)2
= 1 – (v3/v6)2
(8’)
dans
w3, (t6)3
est la mesure du temps t dans w3 et (v6)3 est la vitesse
maxima c observable dans w0 et w6 par w3.
(v3)3
est la vitesse radiale v de la particule évoluant dans le temps t.
cette
relation peut donc s’écrire sous la forme bien connue :
t2/t2
= 1 – v2/c2
(8")
seules, les explications de
j.p. garnier malet (concernant l’application de sa théorie du dédoublement
des temps, découverte en 1988 et publiée en 1998) a permis de donner aux
scientifiques intéressés des réponses exactes concernant l’équation (8") qui
intervient dans le correctif relativiste d’einstein
g
tel que :
1/g
= (1 – v2/c2)1/2
n.b. ces réponses sont
données dans la première publication en 1998 :
voir références
ci-dessus.
6.4- démonstration du théorème
compte
tenu de l’accélération du mouvement de spinback de
1 à 10 entre les horizons emboîtés, les équations ci-dessus (8) et (8’) se vérifient pendant les
juxtapositions initiales et finales pour un nombre de spinbacks
multiples de 10 (figure 26).
figure 26
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
le
999ième spinback de la particule
interne w6
termine la 3ème juxtaposition de la particule intermédiaire w3 et
la 1ère de la particule externe w0. la troisième juxtaposition dilate w3 en 2w3.
le
1er spinback réel de w6 dans
w3, est
donc le 1000ième après les 999 spinbacks
virtuels.
ces
999 spinbacks virtuels proviennent donc des spinbacks intermédiaires (2/3=666) et des spinbacks externes (1/3=333).
nous
avons vu que pr à l’intérieur de la particule correspond à p2r2
à l’extérieur. les (333/1000) spinbacks des deux
particules virtuelles, à l’extérieur de w0, sont tels que :
(333/1000)2
= (10-1+10-2+10-3) - (10-4+10-5+10-6)
(9)
c’est
la condition pour échanger le trajet radial virtuel et le trajet réel
tangentiel.
cette
condition initiale vérifie la condition finale à la fin du spinback de w0 :
1/1000 + 333/1000 +
666/1000 =
1
(10)
les
999 spinbacks réels radiaux (internes) reviennent
donc au début de la transformation (comeback) pour devenir 666 spinbacks intermédiaires et 333 spinbacks
externes juste avant la fin du spinback de w0
pendant un trou temporel commun (fig 27).
figure 27
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
6.5- vitesse de spinback et énergie
avant
la juxtaposition finale, les trois vitesses radiales des trois particules emboîtées
ne sont pas dans la même direction radiale.
nous
avons vu que la vitesse radiale observable v dans la particule
intermédiaire est toujours le carré u2 de la vitesse
tangentielle u de la particule interne ou externe.
cette
vitesse radiale observable u2 semble donc résulter d’une énergie
externe ou interne puisqu’elle est proportionnelle au carré de
la vitesse u. le
rapport des spinbacks entre les trois particules
emboîtées est donc le rapport des trois énergies nécessaires à leur
dédoublement.
À
la fin de la transformation de dédoublement, la juxtaposition finale
redonne les conditions initiales dans les mêmes rapports :
1/1000 : particule externe,
333/1000 : particule intermédiaire,
666/1000 : particule interne.
ces
rapports sont aussi les rapports des trois énergies emboîtés. nous
appellerons :
e+,
l’énergie de cohérence « 333 » de la particule intermédiaire.
e-,
l’énergie d’expansion « 666 » de la particule interne.
e , l’énergie de mouvement (spinback)
de la particule externe.
c’est
le temps du spinback de la particule
intermédiaire qui détermine la longueur de l’axe radial. selon l’équation
(9) :
(e+)2=(333/1000)2 = (10-1+10-2+10-3)
- (10-4+10-5+10-6) = e+ (1- 10-3) = 4(e-)2
l’énergie
intermédiaire d’expansion e+ devient les énergies externes
virtuelles de cohérence « 333 » et d’expansion « 666 »
du prochain spinback. toutefois, la direction des
vitesses radiales ne sont pas toujours les mêmes (figure 28).
figure 28
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
juste
avant la fin du premier spinback de la particule
externe (avant l’ouverture temporelle commune), l’énergie d’expansion
« 666 » est opposée à l’énergie de cohérence « 333 »
sur l’axe radial.
récemment, par deux observations différentes d’une
supernova, deux scientifiques (saul permutter en
amérique et brian schmidt en australie, janvier 1998) ont démontré que l’expansion
de l’univers est accélérée par une énergie inconnue de répulsion ou
anti-gravitation, opposée à l’énergie de gravitation.
cette énergie serait 66,7% de l’énergie de l’univers.
avec le théorème des trois horizons de dédoublement, nous
pouvons dire que cette énergie n’est pas 66,7/100 mais 666/1000 de
l’énergie initiale ei de notre
univers.
cette énergie d’expansion « 666 millièmes » est
observable à la fin du dédoublement. elle semble correspondre à une
accélération de la dilatation de la particule interne.
pendant le dédoublement, l’énergie d’expansion « 666
millièmes » n’est pas observable parce que l’énergie de cohérence
« 333 millièmes » semble être l’énergie qui assure une cohésion
de l’horizon intermédiaire.
de même, les 9/10ème des spinbacks
internes (figures 28 et 31) ne sont pas observables dans l’horizon
intermédiaire avant la fin du dédoublement. cela explique les masses
manquantes (9/10) qui correspondent à ce spinback
virtuel (ou apparemment manquant).
cette énergie d’expansion (répulsion ou anti-gravitation)
n’est pas une nouvelle énergie résultant d’une masse négative, mais la
conséquence d’échanges d’énergies par la juxtaposition finale des trois
horizons emboîtés : l’énergie de cohérence devient l’énergie
d’expansion pour l’observateur externe dans un trou du temps imperceptible.
une application du mouvement fondamental dans le système
solaire (j.p. garnier malet, 1998), permet de comprendre que cette énergie
(expansion) devient perceptible actuellement parce que les six horizons
solaires stroboscopiques commencent leur juxtaposition. l’expansion finale
(dilatation) de l’univers apparaît donc maintenant avec la particule
virtuelle initiale (big-bang).
le futur perdu dans un trou temporel initial semble ainsi
exploser dans le passé de l’univers. l’accélération de l’expansion de
l’univers, limitée par le temps de la juxtaposition, nous prouve que nous
sommes actuellement à « la fin des temps », c’est à dire à la fin
des six temps stroboscopiques du dédoublement. de ce fait, le théorème des
trois horizons peut expliquer de multiples observations actuelles dans le
cosmos.
7-
application au système solaire (j.p. garnier malet, 1998)
la théorie du
dédoublement permet de comprendre les orbites des planètes. le mouvement fondamental
s’applique à ce système d’horizons emboîtés indispensable au dédoublement.
7.1- principe des trajectoires planétaires
chaque
planète est une particule interne effectuant un trajet radial dans une
particule externe a qui effectue un trajet tangentiel sur un horizon w (figure 34). le centre o de l’horizon w est appelé « centre de cohérence » de la planète.
figure 33 :
trajectoire quasi-elliptique des planètes.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
7.2- orbite quasi-elliptique de mercure
le
centre de cohérence de mercure ome
(figure 34) correspond à une première dilatation d’une particule radiale
solaire après anticipation de (2r/8)(1-18)=7r/32.
figure 34 : centre de cohérence de mercure.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
ce
centre de cohérence ome est le centre
de rotation de l’horizon de mercure wme sur lequel la particule ame
effectue un spinback tangentiel (figure 35).
figure 35 : trajet tangentiel et radial de mercure (ellipse de kepler)
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
le
trajet radial de 2a/320 (noyau de mercure) dans a et le trajet tangentiel de a sur wme
donne l’orbite quasi elliptique de mercure.
les
trajets radiaux et tangentiels de a/32 et a/4 expliquent les petites librations d’une planète
autour de son plan orbital.
les
spinbacks "anticipatifs" expliquent
l’accélération (périhélie) ou la décélération (aphélie) du mouvement
orbital de la planète.
7.3- lois de kepler
7.3.1- première loi de képler
les orbites planétaires sont des ellipses et le soleil est un
foyer.
par
définition, le mouvement fondamental met le soleil comme un des foyers de
chaque planète. la théorie du dédoublement définit le deuxième comme centre
de cohérence de la planète.
7.3.2- seconde loi de képler
la surface engendrée par la droite reliant le centre du soleil au
centre de la planète est proportionnel au temps nécessaire pour la décrire.
cette
loi n’est pas la cause du mouvement mais l’effet résultant des spinbacks anticipatifs des horizons emboîtés.
grâce
à la théorie du dédoublement, les effets anticipatifs permettent de
calculer l’accélération et la décélération du mouvement elliptique
observable.
7.3.2- troisième loi de képler
le cube de la moitié du grand axe des orbites planétaires est
proportionnel au carré du temps de révolution de la planète.
l’équation
d’échange (4) du paragraphe 6 implique cette loi.
avec
un rayon (r-1)0=p1/2 au moment des spinbacks
communs, l’équation devient (j.p. garnier-malet 1998) :
(pr2)1 = (4p3/2r)0
autrement
dit, le cube de (p1/2)0
associé au trajet radial (r)0,
correspond au carré de (p1/2)1associé au carré du trajet radial (r)1.
le coefficient de proportionnalité est rigoureusement égal à 4. la loi de
kepler utilise les distances du soleil aux planètes : ce coefficient
est alors « approximativement » égal à 4.
7.3- vérification de la relativité d'einstein
le
mouvement fondamental donne aussi le mouvement de l’axe radial (aphélie-perihélie) :
p/64 spinbacks de mercure et l’anticipation de (1/100)(p/32) spinbacks
correspondent à 800 spinbacks de la terre (400
ans).
cela
entraîne tous les 100 ans la rotation qe de
l’axe de mercure :
qe = (p/4)(1/64 +1/3200) = 43,03’
cet
angle est bien le « mercury gap » que
donne la théorie de la relativité d’einstein.
7.4- lois de newton
la
théorie du dédoublement généralise les lois de newton en permettant de modifier
les orbites par des recalages successifs. ces recalages périodiques des
orbites planétaires (fig. 33 et 33bis) correspondent aux juxtapositions
finales sur l’axe radial initial dans les six temps d’un cycle solaire dont
on peut calculer la durée et les dates importantes. comme le cycle actuel
approche de sa fin, un recalage important et chaotique a déjà commencé sur
terre.
fig. 33bis : recalage par échange cyclique du radial et du
tangentiel
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
7.5- centres de cohérence des espaces planétaires
les
centres de cohérences planétaires sont fixés par les spinbacks
successifs (figure 36).
figure 36 : centres de cohérences des planètes telluriques.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
viennent
ensuite les six centres de rotations intermédiaires dont dépendent les astéroïdes
qui sont ainsi séparés en six groupes par des espaces vides appelés
« lacunes ». l’ensemble forme un 1er horizon solaire
correspondant à une succession de dilatations autour des centres de
cohérence planétaires respectifs (figure 37).
fig. 37a : mercure.
fig. 37b :vénus.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
fig. 37b : vénus.
fig. 37c : terre (écliptique).
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
fig. 37c : terre.
figure 37d : mars.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
7.6- les associations de horizons planétaires du dédoublement
dans
le système solaire, le dédoublement donne six associations des horizons des
particules solaires et planétaires :
1 soleil-pluton,
2 mercure-neptune,
3 vénus-uranus
4 terre-saturne
5 mars-jupiter
6 astéroïdes-ceinture de kuiper.
nous
retrouvons la loi de titius-bodes
avec les spinbacks successifs (voir
la communication
j.p. garnier-malet, 1998) :
¯
soleil
4
= 4 Û pluton
4+3072 = 3076
¯
mercure 4+ 3
= 7 Û neptune 4+1536
= 1540
¯
vénus
4+ 6
= 10 Û uranus
4+ 768 = 772
¯
terre
4+12
= 16 Û saturne
4+ 384 = 388
¯
mars
4+24
= 28 Û jupiter
4+ 192 = 196
¯
astéroïdes 4+48
= 52
total
= 5972
¯
horizon 4+96
= 100
= (216´27)+167*
total
= 216+1
grand
axe de mercure : 167 = 164 rayons solaires + 2amercure.
7.7- double horizon intermédiaire et vitesse de la lumière
la
théorie implique 216 spinbacks pour l’horizon
intermédiaire aterre
(figure 38). la terre est la particule interne de aterre
dans le plan initial appelé « écliptique ».
figure 38 : trois dilatations et trois juxtapositions
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
correspondant
à la sixième dilatation, les astéroïdes forment six groupes de
juxtapositions intermédiaires.
les
planètes géantes sont associées aux planètes telluriques selon le tableau
précédent.
leur
horizon correspond à la ceinture de kuiper.
dans
l’horizon initial, la particule interne de aterre est associée à la particule interne asaturne
de la façon suivante (figure 39) :
figure 39 : association terre-saturne des particules a.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
la
relation (7) permet de calculer la vitesse de dédoublement dans cet horizon
de juxtaposition intermédiaire :
c2
= 216.106p5/2[p(r/8)/2t] = 299 792
km/s.
(8)
avec
le rayon de la terre : r =6378 km,
et
le temps de 2 spinbacks : 2t = 1 an = 365,25´24´3600 sec.
7.8- ouverture temporelle solaire (24 835 ans=100 années de pluton)
le
temps de (12´216) spinbacks de la
particule de la terre correspond à (1/2)´(217) spinbacks
de son horizon solaire (j.p. garnier malet, 1998) :
t(terre) = (12´216) - (1/2)´(216+1) =
2 483,5 spinbacks de la terre.
avec
l’accélération (de 1 à 10), le temps du dédoublement solaire est :
10t(terre) = 25 920 - 1085 = 24 835 ans.
cela
correspond à 200 spinbacks de l’horizon du couple
soleil-pluton. l’année de pluton (2 spinbacks)
est de 248,35 ans.
la
période de 25 920 ans est le temps de la rotation de l’axe polaire de
la terre. les 1085 ans
correspondent au temps de la rotation de son horizon solaire.
7.9- trajet radial de l’ouverture temporelle (14,818 109 années
lumière)
l’équation
(6) permet de calculer le temps de l’ouverture temporelle de l’univers qui
correspond au trajet radial de notre lumière dans le temps du cycle solaire
de dédoublement (garnier-malet j.p. 1999).
en
fait, cette équation qui est la suivante :
c0
= 7c1 = 7(49/12)105c2.
donnent
les rapports de temps de la même observation dans trois horizons ou
particules successives.
pendant
2/10 (dilatation 2 et accélération radiale 1 à 10) de 25 920 ans(cycle solaire de notre lumière ou trajet radial le
plus rapide), la lumière de l’univers (trajet tangentiel sur l’horizon)
utilise seulement 2´1080 ans.
nous
pouvons donc dire que l’âge de l’univers est :
(2/10)´25 920´(7(49/12)105 = 14,818 109
années lumière
moins l’anticipation
finale (1080 ans) et la virtuelle anticipation initiale (1080 ans) :
(2/10)´(2´1080) ´7(49/12)105 = 13,583 109
années lumière.
la
différence est la frontière commune entre le premier horizon et la dernière
particule.
8-
conclusion
le
mouvement fondamental permet à chaque particule de disposer d’un
référentiel dynamique. avec lui, une particule externe peut anticiper un
événement futur dans l’horizon d’une particule interne et introduire ce
futur dans l’horizon d’une particule intermédiaire.
grâce
à cette hyperincursion de son futur dans son
passé, cette particule intermédiaire obtient un passé instantané
correspondant à son futur. son événement présent est donc toujours
l’actualisation d’un potentiel résultant de cette hyperincursion.
l’horizon d’un observateur physique pourrait être juxtaposé avec des
horizons de particules virtuelles pendant une ouverture temporelle.
un
observateur physique pourrait donc anticiper son futur.
dans
les prochaines années (entre 2002 et 2012), ce sera la fin du cycle solaire
(garnier-malet j.p. 1997) : l’explosion solaire du 13 mars 1989 est la
4ième des sept explosions nécessaires pour équilibrer les six
temps stroboscopiques de nos six horizons solaires.
l’accélération
de l’expansion de l’univers, déduite de l’observation par brian shmidt and saul perlmutter
(janvier 1998) confirme cela.
À
la fin du cycle solaire, nous observerons la juxtaposition finale des six
particules ou horizons emboîtés (solaires, galactiques et universels) qui
correspondront à la juxtaposition des six horizons solaires emboîtés.
pendant
le cycle de dédoublement solaire de 24835 ans, 13,583 109 années
lumière est la distance parcourue par notre lumière (avec la vitesse :
c2 = 299 792 km/sec).
cette
distance est observable par un observateur terrestre. elle ne l’est pas par
un observateur virtuel galactique or universel.
il
existe deux observateurs virtuels :
l’observateur universel o0 (vitesse c0
= 7c1),
l’observateur galactique o1 (vitesse c1
= (49/12)105c2)
et l’observateur réel terrestre o2
(vitesse c2).
ces
trois observateurs construisent leur référentiel dynamique selon les
hypothèses initiales.
À
la fin de la transformation de dédoublement de notre système solaire, la
juxtaposition des sept horizons nous fournira l’occasion d’une observation
de l’univers. cette observation s’effectuera à l’extérieur de l’ouverture temporelle
universelle et à l’intérieur des ouvertures temporelles des deux
observateurs virtuels.
les
sept temps stroboscopiques qui sont nécessaires pour la transformation de
dédoublement du système solaire en 24835 ans, s’équilibreront dans le même
temps et le même espace...
puis,
une nouvelle transformation recommencera et les sept stroboscopes du temps
redémarreront pour un nouveau cycle de 24835 ans, divisé en 12 périodes de
2070 ans. entre ces deux cycles, il sera difficile de prédire le futur de
notre planète si nous ne faisons pas attention à la fin de ces six temps
solaires.
9-
réflexions hors publications scientifiques
9.1- les sept divisions du temps
l’échange
des observateurs correspond à un échange entre le trajet radial d’un observateur
et le trajet tangentiel de l’autre ce n’est possible qu’avec sept divisions
du temps (j.p. garnier-malet, 1998, 1999) qui impliquent six horizons
doubles intermédiaires.
la juxtaposition des trois observateurs emboîtés à la fin
du dédoublement nous permet de voir que la particule finale dilatée et
anticipative 12a=2(6a) de l’horizon 35a=243a a aussi une particule anticipative a (figure 40).
cette dernière particule est la particule initiale après
la transformation de dédoublement qui utilise : 28=256 trajets radiaux.
cela montre les changements d’échelle d’espace et de temps
entre la particule initiale a et
l’horizon final 9w en mouvement
dans la même transformation.
la structure de cette figure est une structure fractale.
c’est en fait une structure dynamique qui superpose
toujours six structures anticipatives emboîtées dans une septième pour
trois observateurs dédoublés.
figure 40 :
dédoublements simultanés de a et de
w.
(copyrignt © jpgm 1997-2007)
platon
connaissait-il l’hyperincursion du futur dans le
passé plus de quatre siècles avant j.c. ?
« À l’aide de
l’intervalle un plus un huitième
(figure 27), il combla tous les intervalles de un plus un tiers (figure
30), laissant subsister de chacun une fraction telle que l’intervalle
restant fût défini par le rapport 243/256 (figure 40). »
(timée/critias de platon.)
le dédoublement correspond bien à la définition qu’il en
donnait :
« entre l’etre divisible et qui reste toujours le
même et l’etre divisible qui devient dans les corps, il forma par un
mélange des deux premiers une sorte de troisième etre. »
ceci dit, l’observateur initial est dans le premier
horizon, sa perception du temps est très lente. l’observateur intermédiaire
est dans le 4ème horizon, sa perception du temps est plus
rapide. l’observateur interne est dans le 7ème horizon, sa
perception du temps est encore plus rapide.
les trois observateurs pour les trois horizons (1er,
4ème et 7ème) divisant six fois le temps,
correspondent aux trois vitesses de perception du temps (c0, c1,
c2), liées par la relation (6) :
c0
= 7c1 = 7(49/12)105c2.
où c2 est la vitesse de notre
lumière.
9.2- dédoublement des observateurs
nous vivons dans un système solaire qui est formé de
systèmes anticipatifs emboîtés, conséquence du dédoublement. cette
transformation qui concerne l’horizon solaire et ses particules existe
aussi pour les observateurs dédoublés sur terre.
la conséquence la plus importante de notre dédoublement
est la possibilité d’échanger nos trois perceptions différentes du temps,
durant les ouvertures de notre temps (temps de non perception ou
d’inconscience).
notre corps doit être relié en permanence aux six horizons
doubles séparant les sept écoulements du temps nécessaires au dédoublement.
mais seules, trois perceptions sont nécessaires pour obtenir les meilleurs
réflexes vitaux.
la fin imminente de cycle de dédoublement de notre système
solaire, et donc de nous-même, ouvre les horizons les uns sur les autres et
nos différentes perceptions peuvent se développer très vite. en utilisant
les échanges d’observateurs et avec la connaissance des mouvements
planétaires, il sera possible d’expérimenter différentes solutions futures.
cela devrait nous permettre de résoudre bon nombre de problèmes corporels
et planétaires puisqu’il est possible de rendre réel un futur virtuel.
9.3- une connaissance perdue
les vieilles civilisations (sumérienne égyptienne,
grecque, sémite) devaient connaître la transformation de dédoublement.
un observateur initial restait indivisible dans son espace
tout en devenant un observateur dédoublé dans un trou de son temps,
elle-même dédoublée dans un trou de son temps, formant ainsi une "triple
alliance" d’informations (passé, présent, futur) dans sept horizons
emboîtés (1er, 4ème, 7ème).
le dédoublement impose sept horizons : c’est sa
caractéristique essentielle. il est donc normal de retrouver cette notion
dans tous les écrits anciens, par exemple dans la triade pythagoricienne
(monades = 1, quaternaire = 4 et septénaire = 7).
cela ne signifie pas que la théorie du dédoublement était encore considérée
comme une certitude scientifique. elle était sans doute devenue mystère
religieux ou ésotérique.
nous en avons pour preuve les épicycles de ptolémée qui
sont une caricature enfantine des spinbacks dans
le système solaire. ce savant du siècle avant j.c. était un compilateur
incompétent. il faisait rouler des sphères virtuelles les unes sur les autres
sans trop en comprendre l’utilité.
une autre preuve concerne les sept planètes des
alchimistes. le système dual planétaire associe bien les planètes deux à
deux en formant sept horizons successifs.
les adeptes de mithra au début de notre ère puis les alchimistes
ont pensé à tort que ces sept horizons étaient le soleil, mercure, vénus,
la lune, mars, jupiter et saturne, seuls « luminaires »
observables dans notre ciel.
tout le monde connaît les « six jours » de la
bible et le septième jour de juxtaposition des horizons qui termine le
dédoublement par un échange final.
certes, l’équation du dédoublement :
(qr02)0 = (4qr0r-1)-1,
(4)
avec la condition : (q)n = (k)np, "n,
devait avoir un autre formalisme.
il est possible de le retrouver.
(pr02)
observé par o0 est égal à (4pr0r-1)
observé par o-1 peut s’écrire :
(pr02)0= (4pr0)0(2r0/8)0
= (4pr0)1(1)1.
en effet, l’échelle de temps et d’espaces transforme un
horizon unitaire (r0=1) en un horizon dilaté (´2) avec un rayon 8 fois plus petit que
le rayon r de la particule initiale (voir
la communication
j.p. garnier-malet 1998).
les grecs pouvaient écrire cette relation sous la forme
suivante :
(2pr02)0=ar0
avec a=(2pr0)0
et (r0)0=1
(2pr0r-1)-1
=wr
avec w=(2pr0)-1 et (r)-1=(r-1)-1=1
ainsi : wra=arw.
curieusement, wra
signifie la division du temps et arw,
grandir dans le futur.
le r pourrait être
le lien entre l’a et l’w pendant le dédoublement qui dilate a en w.
l’observateur qui supprimerait le lien r entre l’a
et l’w (par échange des
perceptions) deviendrait : l’alpha et l’oméga, le premier et le
dernier, le principe et la
fin".
il est
donc bien évident que les anciens connaissaient le principe dédoublement par
dilatation de la particule
a=w
ainsi que l’hyperincursion du futur dans le passé.
copyright©1998-2007 jpgm
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